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 La triste vie de Elänéïa la damnée (par Ash)

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Loréya

Loréya


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MessageSujet: La triste vie de Elänéïa la damnée (par Ash)   La triste vie de Elänéïa la damnée (par Ash) Icon_minitimeVen 14 Aoû - 1:03

Chapitre I : Le commencement.

Il y a de cela 8 ans déjà (j'allais sur mes 11 ans), je me nommais Faënia Minòri Sylnéa, Fille de Anäriela Elënïsa Sylnéa (Grande Prêtresse d’Elune, bras Droit de la fameuse Tyrande Murmevent qui est elle-même la Reine des Elfes de la nuit). Je parcourais les contrées Darnassiennes quand ma mère voulut m'apprendre à me défendre moi-même. Elle me demanda donc: "Quelle métier voudrais-tu faire plus tard?".Je lui répondis bien évidemment que je voulais faire comme elle.
Elle me donna le jour de mes 11 ans une dague superbe taillée en mithril pure d'une beauté éclatante.
Ma mère m'emmena donc sur le dos de son tigre qui s’appelait Enlanas (qui veut dire « Porté par les vents » en Darnassien) et me déposa loin, dans un endroit connu seulement de ma mère. Elle voulait voir si j'avais les capacités à me défendre seule face à la nature qui m’entourait et même si je pouvais communier avec elle. Anäriela Elënisa me dit qu'elle allait revenir dans 3 jours puis m’embrassa et partit au loin...
Toutes les nuits je pleurais car je voulais revoir ma famille. Le soir du 2ème jour, alors que je pensais à ma mère qui devait venir me chercher le lendemain, j’eus un sentiment qu’un désastre allait arriver sous peu. Le 3ème jour, à l'aube, ma mère s’aperçue que je m’étais mis sous un arbre très ancien et que je ne faisais plus qu’un avec celui-ci : mon esprit arrivait à comprendre la nature...

Ma mère me mis donc sur le dos de son Tigre et me ramena à la cité Elfique. Vers 10 ou 11h du matin, lorsque j'allais m'entraîner à la magie au Temple de la Lune, Darnassus était en flamme. Les morts jonchaient toute la ville. Je me suis réfugié avec ma mère dans Le Temple de la Déesse. Elle repoussait les morts-vivants du Fléau avec une adresse à la magie que n'en croyais pas mes yeux.

Tout à coup, les goules et autres créatures cessèrent toutes hostilités.
Un grand homme noire avec une épée de glace est apparut en face de Tyrande.

Ma mère eu une soudaine peur puis elle dit à haute et intelligible voix:"Tyrande, que Elune soit avec vous : Arthas est …!"La grande Prêtresse avait demandé à ma mère d’un geste de la main de ne plus rien dire. Arthas, le roi liche, sortit alors son épée et dit à ma mère:" Comme on se retrouve, Tyrande. Tu n'as pas changé depuis ces longues années". Son souffle était froid. La grande Prêtresse d’Elune lui dit alors: « Que me veux-tu, prince maudit? Si tu veux quelques choses, prend le mais laisse mon peuple tranquille ou tu subiras toute ma colère ». Arthas ricana et lui dit:" Je recherche de nouvelles recrues pour détruire votre soi-disant Alliance. Personne n'est à la hauteur de mes espérances sauf une qui est présente dans cette pièce, tu vois de qui je parle, n'est-ce pas, Tyrande? La prophétie va s'accomplir et votre fin est proche". Tyrande me regarda et dit au Roi liche:" Tu veux Faënia Minòri ? Tu la veux car c'est la seule Elfe qui est née le jour ou la Lune était rouge, le jour où tu as obtenu tes pouvoirs il me semble. Mais laisse moi te dire que tu ne l'aura jamais, tu m'entends? JAMAIS!".Elle se retourna vers moi et me dit en chuchotant:" Cours, vite .
Cache toi à la maison de la Lune à Dolanaar. Cours et ne te retourne pas !". Elle dit à une suivante de m'emmener et je voyais ma mère et la Grande Prêtresse Tyrande en train de combattre tout les démons de Darnassus avec quelques vaillants Guerriers et archers.

Deux jours ont passé et il manquait de nourritures à Dolanaar. Je revoyais ma mère en train de combattre pour notre peuple. Tout à coup, un messager vint à notre rencontre. Il nous demande de rejoindre Darnassus au plus vite. Je lui demandais alors si ma mère allait bien. Il me sourit et dit qu'une fois que j’étais partie, Arthas s'en est allé. Plusieurs minutes ont passé et je vis une centaine de garde royale pour me protéger. Nous étions donc en route pour rejoindre Darnassus.
Soudain, une horde de goules ne débarquèrent de nulle part. Les gardes me remirent la dague que ma mère m'avait offerte et une baguette dans un superbe étui en bois d’une espèce rare que l’on trouvait uniquement à Teldrassil. Je lançais des sorts comme je le pu en évitant mes gardes. Puis, dans un torrent d'éclairs bleus, Arthas vint et tua d'un seul coup les centaines d'hommes qui devait me protéger.
Ma servante pris alors son arc et décocha une flèche qui allait droit vers son visage. Arthas disparu et j'entendis ma servante crié de douleur. Le roi liche l'avait transpercé de son épée qui s'appelait Frostmourne je crois (car j’entendais résonner son nom dans ma tête). Ma servante me dit de fuir mais je pris ma baguette et je lui lançais une dizaine de boules de feu qu'il esquiva facilement. Il se retrouva derrière moi et me demanda:"Veux-tu voir ce que les autres ne peuvent pas voir?". Je lui répondit:» quel est-il ?".
Arthas eu une minute de réflexion puis me dit:» La puissance, le pouvoir, le pouvoir de donner la vie et aussi…la Mort…". Je lui dis alors:» Vous voulez donc m’utilisez à vos fin….je n’accepterais ce sacrifice qu’à une seule condition….Laissez mon peuple vivre en paix !" et à ce moment là, il me dit:" c’est d’accord, et le roi liche n'a qu'une parole". Il sourit, leva son épée et me transperça le ventre. Je m'évanouis et sentis le froid mordant pénétrer dans mon corps tout entier y compris mon âme... .
Lorsque je me suis réveillé, je me suis demandé ou j’étais. Une goule me répondit que c'était Stratholme. Le roi liche me dit alors:" bien, je vois que vous êtes enfin réveillé. Cela fait 6 ans que vous êtes endormis. Mais vous avez mis moins de temps à vous transformer que tout mes autres morts-vivants. Vous vous appellerez dorénavant Ashj Faënia, mais vous aurez comme seul prénom Faënia ". Je lui dis d'un hochement de tête que c'était d'accord mais une idée me rongea.
J'avais une énorme envie de tué des innocents, de les massacrer et de donner leur reste aux goules. Je pensais qu'à tué, tué et encore tué. J'en parlais à Arthas. Il sourit et me dit qu'il me comprenait. Il me demanda alors ou je voulais lancer l'assaut. Je lui dit que je voudrais tué toutes les races vivantes existantes en commençant par les Elfes, mais en envoyant des messagers pour dire aux nains, aux humains et aux Draeneis que je les attendais à Darnassus.
Un an a passé…
J’étais devenue le bras droit du roi liche. Lors de mes 18 ans, j'ai voulus lancer l'assaut ultime. Le roi liche m'a accordé mon souhait et m'a dit qu’il n'interviendrait pas dans ce combat. Après 3 jours de marche avec mes dizaines de milliers de morts-vivants, j'arrivais en vue de Darnassus. Les gardes darnassiens, les humains, les nains et les draeneis nous attendaient.

Après une soirée noire, et après avoir tué une trentaine de voleurs qui se dissimulaient dans les ombres, nous avons établit un plan avec mes 4 Champions du fléau. Le lendemain, quand le soleil était au Zénith, On prit tous nos positions. Je m'étais installé sur une petite colline et tout autour de moi était placé les dizaines de milliers de morts-vivants.
Les vivants, qui étaient toujours à Darnassus, se préparèrent à passer une journée couverte de sang. A midi pile, j'ai crié de ma voix glaciales:" En avant. N'épargnez aucun vivant dans cette cité. Réduisez-la en cendre. CHARGEZZZZZZ".Toutes mes troupes se ruèrent vers les défenseurs de la cité. Comme je voulais gouter un peu de sang, je suis allé moi-même dans la cité. Elle brulait de partout sauf d'un endroit: Le temple de la Lune. J'ai donc pris mes 4 Champions et environ 500 goules.
Pleins de morts-vivants jonchaient le sol. J'ai donc dit à mes goules d'attaquer le temple et de revenir une fois la menace éliminé. Elles ne revinrent pas après 20 minutes. Mes Champions me conseillèrent de leurs dire d'y allé et c'est ce que je fis. Après 10 minutes, un de mes champions arriva en rampant sur le sol. Il me dit:" Maîtresse Faënia, Tyrande Murmevent se cache dans le bâtiment. Votre mère aussi y est et nous a tous réduit en cendre. Vengez-nous, Pour Le Roi Liche......"Puis il mourut.
J'avais un étrange sentiment de déjà vu. Le fait que mon second me dise que celle qui se fait appeler la reine des Elfes de la nuit soit au côté de ma « vrai » mère me fit peur car je pensais que je n'avais pas eu de proches autre que le Roi Liche. Je me suis donc dis que je devais le faire pour le Roi Arthas. Je suis donc entré et je vis une Elfe en train de prier Elune. Je lui demandais de se retourner.
Je commençais à avoir peur mais elle se retourna tout doucement. Je la vis très clairement: son visage était lumineux. Lorsqu'elle me vit, elle éclata en sanglot et me dit:" Ma pauvre fille, que t'ont t’il fait?".Quand j'ai fermé mes yeux, j'ai eu à ce moment là un flash avec tous mes souvenirs: dès que je les rouvris, Anäriela Elënisa priait Elune de me sauver des ténèbres qui m’enveloppaient. Je perdis à ce moment connaissance. Lorsque je revins à moi, Arthas était devant moi. Ma mère, dont je me souvenais plus ou moins de mes anciens souvenirs, était en train de battre Arthas qui faiblissait de plus en plus. Elle cria alors:" Va t'en monstre, cette flèche sera ta dernière. Pour mon peuple, mes souffrances et pour ma fille".
Sa flèche était violette et transperça Arthas. A ce moment, tout mes souvenirs me revinrent et je m'évanouis de plus belle.
Lorsque j'ouvris les yeux, je voyais Tyrande et ma mère, qui essayait tout les soins possibles pour me retransformer en vivant, mais j’étais belle et bien morte car je voyais ma mère se lamenter. Je me suis levé et elles me regardèrent toutes les deux. Tyrande me demanda:" Comment vas-tu?"
-"J'ai froid partout".
-"Tu te rappelles quelques choses?"Elle essuya ses larmes avec un tissu de soie qui était sur la table à côté de moi.
-"Je me souviens de tout dans les moindres détails et....."
Ma mère me pris dans ses bras et m'enlaça avec une si forte étreinte que cela me réchauffa un peu.
-"Tu sais donc ou on est?"
-"Oui, c'est pas notre petite maison aux Serres-Rocheuses pas Hasard?"
-"Oui, c'est bien celle-là. Je t'y ai emmené car tout les habitants de Darnassus avait peur que tu ne sois encore sous l'emprise du roi liche".
Ma mère me dit ensuite qu'elle me donnait cette maison si je voulais un peu de solitude.
Elle me dit aussi que si l'envie me passait de venir à Darnassus, ma mère ainsi que tout les Darnassiens m’accueillerait à bras ouvert. Elle m'embrassa et partit sur Anfalos (car elle me laissa Enlanas).Elle m'avait laissé un petit mot qui disais:" Voici Enlanas, le tigre que tu aimais jouer avec étant petite. Elle saura te guider et t'aider dans ta quête de puissance lors de ton voyage. J'espère que tu viendras souvent nous voir, moi et tes semblables. Bonne chance ma fille et prend bien soin de toi. Bisous Tyrande Murmevent et Anäriela Elënisa".

Une semaine après une longue solitude, je partis en quête de puissance en envoyant tout les 2 jours une lettre à ma mère dès que je passais à une auberge. Elle me répondit aussitôt et me demanda ou j'en étais dans ma quête. Je lui dis que je progressais de jour en jour.
Aujourd'hui, elle sait à présent que ma vie dépend de ma mort et de ma puissance. Elle sait, grâce à ma dernière lettre que je suis aussi forte qu'elle et qu'un jour je lui succèderais (dans beaucoup d'années à t'elle dit), mais en disant que j'en avais beaucoup car je ne mourrais plus jamais: j'avais vaincu la mort elle-même.
Maintenant, j'ai des amis sur qui compter, une mère qui m'aime et un peuple qui a besoin qu'on le protège. Cependant, au fond de moi, j'ai toujours cette sensation d'appartenir à ma propre catégorie: Je m'appelle, Faënia Minòri Sylnéa, fille de Anäriela Elënisa, prêtresse déchue des Elfes de la nuit et Maîtresse des morts-vivants.
Mon but est qu'un jour, je retrouverais Arthas avec mes amis et que je puisse me venger de cette malédiction qu'il m'a jeté et qui est toujours présent en moi. Je pense donc qu'il y a des valeurs qui peuvent être détruites par divers moyens, mais qu'il faut se battre pour honorer ses valeurs et sauver son honneur. Le mien n'a que trop souffert et c'est pour cela que je vie dans la vengeance.
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Loréya

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MessageSujet: Re: La triste vie de Elänéïa la damnée (par Ash)   La triste vie de Elänéïa la damnée (par Ash) Icon_minitimeVen 14 Aoû - 1:03

Chapitre 2 : L’Exil.

Durant la nuit de la saison de la 5ème lune, c'est-à-dire lorsque j’ai eu mes 19 ans, j’ai fait un cauchemar horrible. Ce cauchemar m’avait montré ce que j’avais provoqué des mois durant. Des cadavres d’Elfes, d’Humains mais aussi de nains et de Draeneis gisaient sur le sol souillé par le sang qui coulait. Ceci m’a réveillé et m’a ramené à ma raison : j’étais toujours à Darnassus, dans l’auberge du quartier des artisans.
Je me suis donc levé, habillé avec les habits que ma mère (Qui n’est autre qu’Anäriela Elënisa Sylnéa, prêtresse des Elfes de la nuit) m’avait offert. Je me mis à marché dans les rues de la ville Sylvestre, mais cela me rappelais trop le massacre qui y avais eu lieu.
Le lendemain matin, après cette nuit agitée, je suis allée voir ma mère pour lui faire part de mes propos. Au Temple de la Lune, je lui ai raconté toute l’histoire de mes cauchemars. Ma mère eu de la peine et me dit : « Tu te souviens donc de ce que tu as provoqué en détails, mais sais-tu que les Darnassiens ne t’en veulent pas ? Après tout, tu étais sous l’emprise du roi liche. J’aimerais savoir ce que tu as l’intention de faire maintenant ».
-« Mère, je ne peux vivre si tourmentée et j’ai donc décidé d’y réfléchir : c’est pourquoi j’aimerais donc m’exiler loin de la domination des hommes. Je voudrais pouvoir me recueillir sur mes actes et c’est pour cela que je vais partir en quête de réponses sur ces actes mais aussi sur cette question : Je suis censé être déjà morte, alors à quoi bon vivre ? J’espère que tu me comprends. Ne t’inquiètes pas, je ne t’oublierais pas ainsi que mon peuple et mes amis ».
-« Ne t’en fait pas, je m’étais préparé à ce jour et c’est pourquoi j’ai demandé à mes meilleurs forgerons de te reforger ton armure corrompue qu’Arthas, t’avais donné. Elle est bien meilleur que toutes nos armures et j’espère qu’elle te protègeras pendant ton périple ».
Nous nous sommes donc regardées puis je lui ai dit un « au revoir » triste qui était sorti du fond de mon cœur ou du moins ce qu’il en restait. A Ruth’Theran (un port Elfique sur la côte sud de Darnassus) après m’être équipé de mon ancienne armure corrompue, je pris un bateau pour me rendre à Sombrivage (autre ville portuaire). Arrivé là-bas, je suis aussitôt partie en direction de la région d’Orneval. Je me suis donc arrêter à l’auberge d’Astranaar (Capitale de la région d’Orneval).
Après une nuit aussi tourmentée que d’habitude, j’ai décidé de partir pour la Région des Serres-Rocheuses à l’aube. Durant la traversée de cette région, j’ai dû affronter des dizaines de goules qui devaient m’arrêter. Lorsque je suis arrivé dans notre ville des Serres-Rocheuses, je me suis installée dans la petite maison que ma mère m’avait offerte. Mes nuits étaient toujours aussi tourmentées. Le lendemain matin, je repris la route en direction de la Région de Désolace.
Vers midi, je me suis ravitaillé à la Combe de Nigel (Petite ville dans les montagnes).
Je me suis donc mis en route pour enfin traverser la région de Féralas, avec sa somptueuse forêt. Après quelques altercations avec des morts-vivants, j’ai revu l’endroit où Arthas m’avais transpercé de son épée maudite Frostmourne car il ressemblait à peu près à l’endroit où je me tenais actuellement. J’ai donc accéléré le rythme et je suis partie pour Sombrivage. Après deux grands jours, je pris le bateau de Sombrivage pour la région des Paluns.
Par la suite, j’ai du payer 20 pièces d’argent et 72 pièces de cuivre pour un vol pour m’emmener dans la région des Terres Foudroyées. Dans mon armure, j’ai retrouvé une carte avec un endroit bien spécifique marqué d’un point où toutes formes de vies étaient détruites.
Je m’y suis donc rendue. Après plusieurs heures de marches à pied (car j’avais laissé Enlanas, mon tigre, à l’écurie), je suis arrivé devant une grande colline. Je l’ai grimpé et lorsque je suis arrivé au sommet de celle-ci, j’ai vu que la terre était comme morte à cause du passage du Fléau.

J’ai donc trouvé un abri sur les hauteurs et j’ai médité sur mes questions. Après trois jours de méditation, j’ai enfin trouvé la réponse tant attendue : je vis car j’ai quelque chose à faire et quelque chose à prouver dans ce monde. Je me suis donc dis que ma seule raison d’être était la vengeance. Elle me permet de vivre et d’évoluer dans ce monde souillé et hostile. En conclusion, je vivrai tourmenté tant que ma vengeance contre Arthas, le chevalier de la mort, ne sera pas accomplie.
En conséquence, pour que je puisse être enfin libre de touts tourments, je dois m’entraîner pour qu’un jour, je prenne ma vengeance pour sauver ma vie, ma gloire et mon honneur.
Après cette conclusion, je me suis sentie changé et j’ai décidé de me vouer à vaincre les serviteurs du Fléau jusqu’à ce que ma vengeance soit accomplie. Je suis donc partie pour Darnassus. Cela m’a pris environ quatre jours mais j’étais heureuse de savoir enfin le pourquoi je continuais d’exister dans ce monde. Même si je savais que l’ombre approchais, je me disais que cela m’étais nécessaire pour ma survie.
Lorsque j’arrive enfin à la cité Sylvestre, je suis allé à ma boîte aux lettres. J’avais reçu une enveloppe dans laquelle je vis une feuille de Mallorn (où était inscrit d’une écriture fine que je reconnaissais comme étant celle de ma mère). Sur cette feuille était écrit :
Le 9ème jour de la Floraison.
De Anäriela Elënisa Sylnéa à Faënia Minòri Sylnéa.

Chère Faënia. Je t’écris cette lettre car maintenant que tu as eu tes 19 ans, tu dois connaître notre chant de guerre qui s’apprend de génération en génération dans notre noble famille. Voici ce chant :


« Quand les ombres viennent réclamer nos âmes,
Certains doivent se lever, la lumière des anciens.
Nom dans la pierre, esprit de légende, actes inconnus,
Mais jamais oublié.
Ce sont les Sylnéas, avec honneur et sans peur.
Souviens t-en lorsqu’en l’espoir tu doutes
».

Dès que tes adversaires t’entendront le chanter, ils fuiront de terreur. Souviens toi juste qui tu es et rien ne pourras t’arrêter. Je serais toujours la pour toi, ma fille.
Anäriela Elënisa Sylnéa


Dès que j’eu fini de la lire, je suis partis en direction de Théramore, car mon destin me poussais à aller là-bas. Maintenant, je me perfectionne de jour en jour avec un nouveau destin et donc je prends un nouveau départ dans ma nouvelle vie. J’espère qu’un jour je serais aussi forte que ma mère Anäriela Elënisa Sylnéa, mais ce que j’espère par-dessus tout, c’est le triomphe du courage, du mérite et de l’amitié sur la menace grandissante qui nous entourent de jour en jour.
L’Alliance à elle seule est éternelle et puissante. Nous devons en prendre grand soin pour qu’elle puisse subsister et se manifester.
J’espère que cette nouvelle partie de mon histoire ne changera pas votre point de vue et votre amitié envers moi. Je vous souhaite à tous d’être heureux dans tous vos projets futurs.
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Loréya

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MessageSujet: Re: La triste vie de Elänéïa la damnée (par Ash)   La triste vie de Elänéïa la damnée (par Ash) Icon_minitimeVen 14 Aoû - 1:04

Chapitre III : Le chemin de la Rétribution.

Le 26ème jour du mois de l’éclosion, j’étais toujours à Théramore. Je m’entrainais à manipuler l’ombre tout les jours. Le soir, à l’auberge, une sentinelle du nom de Thenydris (car j’ai entendu l’aubergiste l’appeler) entra en courant. Elle était effrayée et haletante.
Lorsqu’elle fut calmée et qu’elle eut repris ses esprits, je me suis approchée d’elle. Elle était vêtue d’une magnifique armure violette mais ses épaulières semblaient fendues. Elle me regarda avec ses yeux d’un vert émeraude. Elle posa alors son casque sur un coté de la table et demanda à l’aubergiste de lui apporter une cruche d’hydromel. Je m’assis donc à côté d’elle et j’ai donc entamé la conversation en commençant par m’incliner :
« Ishnu’ Alah, grande protectrice. Que venez-vous faire dans une petite cité telle que Théramore ? »
Elle posa donc sa cruche, s’inclina puis repris place sur sa chaise. Elle me montra donc le fauteuil à côté d’elle et me demanda d’y prendre place. Elle me regarda puis commença à parler.
«- Bien le bonjour, grande prêtresse. Je ne vous cacherai pas que les nouvelles du front à Féralas sont très mauvaises. Les Gnolls Griffebois et les Ogres se sont alliés contre nous. Je viens donc ici pour demander de l’aide à Jaina Portvaillant, l’une des plus puissantes magiciennes de notre époque. Elle m’a dit que je pouvais recruter tous ceux qui veulent bien nous aider, sauf les gardes de Théramore.
-Mmmmmh…, ceci m’a l’air bien grave en effet. Et avez-vous trouvé du monde pour le moment ?
-Oh que oui, un petit groupe de rôdeurs elfes dirigé par un chasseur du nom de Celehïr a été envoyé, mais nous n’avons pas reçu de leurs nouvelles et cela m’inquiète. Excusez-moi, mais nous manquons cruellement de prêtres et prêtresses. Voudriez-vous nous rejoindre dans notre lutte ? Je vous en supplie, au nom de la déesse Elune, acceptez. »
Puis elle se mit à genou devant moi. Je lui fis signe de se relever et je lui dis :
« - Et bien je pense m’être assez entraîné et je pense être prête pour faire mes preuves. J’accepte donc votre proposition. Je partirais au lever du soleil demain matin.
-Je vous remercie. Qu’Elune vous protège tout au long de vos périples. Voici votre lettre de recrutement. Allez la donner à la Générale des Sentinelles au Bastion de Pennelune. Encore merci Grande Prêtresse. »
Elle me donna une magnifique lettre cachetée par le sceau des elfes de la nuit, me dit bonne soirée puis disparue dans la pénombre. Je suis donc monté dans ma chambre et je me suis couché.
Le lendemain matin, à la première lueur du soleil, je partis en direction de Féralas. Je suis donc monté sur Enlanas (mon tigre) pour aller vers la région des Milles-pointes. Lorsque je suis arrivé deux heures après à la limite des Milles-pointes, deux gardes de la Horde me bloquaient le passage pour les ascenseurs (qui étaient le seul moyen pour descendre dans les Milles-pointes). J’ai donc réfléchis à une stratégie : utiliser la lévitation divine. Il me fallait juste une plume légère pour pouvoir léviter dans les aires. Je fis donc mon rituel et je commençais à marcher dans le vide. Je pris mon élan et j’ai sauté du haut de la falaise. Je tombais telle une plume et après quelques minutes, je me suis posé en douceur tout en bas.
Soudain, une sorte de silhouette fantôme marchais dans ma direction. J’ai commencé à me préparé à combattre mais la silhouette s’arrêta et me dit :
« -Bonjour à vous, Grande Prêtresse Faënia. Avant que vous me demandiez qui je suis pour connaître votre nom, j’aimerais vous dire que ce monde n’est plus le miens depuis bien longtemps. Je suis coincé entre le passé, le présent et le futur. Je me nomme Médivh le prophète.
-Vous voulez dire que vous êtes celui qui a écrit le dernier livre qui a permis à Archimonde, l’ancien commandant des Abysses vaincue, de venir dans ce monde ?
-Malheureusement pour moi, je suis en effet celui qui l’avait écrit. Je viens vous voir en ces heures sombres pour vous donnez un conseil, Grande Prêtresse. Je connais votre destin tragique et c’est pour cela que je suis venu jusqu'à vous.
-Mais dites-moi, vous êtes mort, non ?
-En effet, ce que vous voyez n’est autre que mon esprit. Bon, l’heure est grave. Bientôt, vous allez devoir jouer un rôle important pour toutes les races de la terre d’Azeroth. Faënia, vous devez apprendre le chemin qui mène à la Rétribution, celle de la lumière divine. Sans cela, si vous continuez à dompter l’ombre, vous finirez comme Arthas et il se resservira de vous à nouveau. Certes, vous serez puissantes, mais votre cœur et votre âme seront à jamais perdus.
- Cela fait une semaine que je m’entraîne à maîtriser l’ombre et je commence à détester les vivants. Vous me dites donc que si j’apprends le chemin de la Rétribution, je serais sauvé des Ténèbres ? Mais je ne pourrais pas accomplir ma destinée. Est-ce que la lumière est aussi puissante que l’ombre ?
- Si vous maîtriser bien la lumière divine, elle sera aussi puissante que l’ombre et vous pourrez résister à n’importes quelles attaques de votre ennemi. Alors, veux-tu connaître ce chemin, ou veux-tu continué à te tourmenter jusqu’à ce que les Ténèbres t’engloutissent ?
- Mmmmmmmmh……..Montrez-moi ce chemin. »
La forme fantomatique de Médihv tendit un bras en avant et fis apparaître un grand portail de lumière blanche.
Il me dit enfin :
« - Traverse ce portail. Il t’emmènera à Shattrath vers le naaru A’dal. A côté de celui-ci, un individu du nom de Kadgar sera présent. Donne-lui cette plume noire et il comprendra.
- Attendez, mais qui est ce Kadgar ? »
Médihv a rit de bon cœur puis me répondis :
« - Ma très chère Elfe, Kadgar était le meilleur apprenti que j’ai jamais eu. Il est aussi sage que moi et il maîtrise complètement la lumière divine. Allez-y Faënia, traversez ce portail et allez le rencontrer. Désormais, ce sera votre mentor. Bonne chance Faënia Minòri Sylnéa. »
Médihv me fit un « au revoir » de la main puis je disparue dans un tourbillon de lumière. Lorsque je rouvris mes yeux, j’étais à Shattrath, devant un grand et immense naaru. Je me suis incliné puis je me mis à la recherche du fameux Kadgar. Je vis un grand homme avec une longue barbe blanche à côté d’A’dal. Il avait l’air sage et étonnamment silencieux. Je me suis approchée puis je lui ai demandée :
« - Bien le bonjour. Je recherche un homme dénommé Kadgar. Le connaîtriez-vous par hasard ? »
L’homme se tourna lentement vers moi, eu un petit rire puis me répondis :
« - Bien le bonjour, prêtresse. Si je connais Kadgar ? Et bien, mademoiselle, vous l’avez en face de vous en ce moment même. Mais pourquoi me cherchez- vous au juste ?
- Je viens de la part de votre mentor, Médihv le prophète. Il veut que vous me montriez le chemin de la Rétribution. Il m’a dit de vous donner ceci et que vous comprendriez. »
Je lui ai donc remis la majestueuse plume noire. Lorsque Kadgar la touche, ses yeux se fixèrent sur lu plume puis me dit :
« - J’ai vu tout ce qu’il vous ai arrivé et j’en suis navré : devoir vivre une seconde vie en étant tourmenté n’est pas chose aisé. Vous êtes forte Faënia Minòri. Je vous enseignerai donc la voie de la lumière. Si vous le voulez bien, nous pouvons commencer tout de suite.
- Ce sera avec une immense joie que j’accepte de commencer maintenant. »
Kadgar invoqua donc un serviteur de lumière. Il me dit de lui donner ma dague et ma baguette car cela me serait inutile. Il demanda alors au naaru A’dal de me former en me faisant oublier l’ombre et en réveillant la lumière divine qui sommeillait en moi. Il me dit d’approcher d’A’dal. Lorsque ce fut fait, un rayon de lumière pure me transperça de part et d’autre de mon corps. Une demi-heure après, je me suis réveillé dans une couchette à côté du naaru et de Kadgar.
Il me demanda comment je me sentais et je lui répondais que j’étais un peu fébrile. Il me dit alors :
« - C’était à prévoir étant donné que vous maîtrisiez assez bien l’ombre. Venez avec moi s’il vous plait. Nous allons continuer si vous le voulez bien. Maintenant que la lumière est avec vous, il faut la maîtriser. »
Le serviteur de Kadgar me rendit mes armes que je lui avais laissées. Kadgar ouvrit alors un nouveau passage de lumière. Il m’invita à le traverser et je m’exécutais. Quand je rouvris mes yeux, j’étais dans une végétation luxuriante et vaste peuplé d’animaux qui avaient disparus d’Azeroth depuis des années.
Kadgar me dit alors :
« - Voila à quoi ressemblais Azeroth si la race Humaine n’avais pas existé. Nous sommes dans le Nunaï’Misha, mais tu le connais certainement mieux sous le nom de « rêve d’émeraude ». Viens, là-bas t’attend ton ultime épreuve pour pouvoir enfin réveiller ton potentiel divin. »
Nous marchâmes pendant une heure et demie avant d’arriver devant une forteresse assez imposante. J’ai donc demandé à Kadgar :
« - Qu’est-ce que je dois faire ici ?
- Tu dois t’introduire dans la forteresse, tuer les serviteurs du fléau et récupérer un pendentif sur leur chef qui se trouve tout en haut de la tour. Bonne chance et que la lumière vous protège. »
Je suis donc entré dans la forteresse. Dons un grand hall, un grand escalier montais mais il était défendu par une vingtaine de gardes morts-vivants. Je me suis caché derrière un mur puis j’ai pris Elune (Déesse des Elfes de la nuit). A ce moment là, je me suis rappelé du chant de bataille de ma famille. Je l’ai donc chanté pour que mes ennemis puissent l’entendre :
« Quand les ombres viennent réclamer nos âmes,
Certains doivent se lever, la lumière des anciens.
Nom dans la pierre, esprit de légende, actes inconnus,
Mais jamais oublié.
Ce sont les Sylnéas, avec honneur et sans peur.
Souviens t-en lorsqu’en l’espoir tu doutes ».
Dès que j’eus fini, les vingtaines de morts-vivants se ruèrent vers moi. Tout à coup, je me suis sentie forte et j’ai invoqué une explosion de lumière pure. Lorsque la poussière s’effaça, tout les morts-vivants étaient à terre, réduit en poussière.
J’ai donc pris les escaliers et je suis arrivé à une salle assez petite avec un trône en or. Sur ce trône était assit un squelette avec une armure corrompue qui ressemblait à peu près à la mienne mais en moins puissante. Le squelette se leva et invoqua une douzaine de marcheur du vide (créature bleuâtre entièrement créer par magie noire).
Je les ai donc combattus avec la même attaque qu’auparavant. Le squelette, après que son armée fut détruite, s’est recouvert d’un bouclier magique et commença à me lancer des éclairs de l’ombre (boules de lumières noires très puissantes). Je les esquivais tant bien que mal mais un éclair de l’ombre me toucha en plein ventre.
Cela m’a projetée à terre et le squelette me dit de sa voix qui semblait immatérielle :
« - Arthas te réclame. Je suis l’un de ces commandant appelé An’Kolvar. Donne-moi ton âme ! »
Je lui dis donc :
« - Je préfère regagner mon honneur et ma gloire passée par la force que de m’avouée vaincue. »
Le squelette recommença à m’envoyé des sorts d’ombres.
Je saignais de partout mais j’ai senti un changement soudain. J’ai donc prononcé une incantation et toutes mes blessures disparurent.
J’ai aussitôt su comment faire apparaître un puissant bouclier de lumière. Les éclairs de l’ombre du squelette s’écrasait contre ce bouclier divin.
J’ai donc concentré une grande partie de ma puissance pour lui envoyé des flammes sacrées. Celles-ci détruisirent son bouclier puis réduisirent en cendre le commandant squelette démoniste du Fléau. A la fin, je pris son collier et je l’ai ramené à Kadgar.
Il me remercia et me dis que ma formation était terminée. Je lui ai donc demandé de me téléporté au Bastion de Pennelune à Féralas et il le fit. Je lui ai dis au revoir en le remerciant et j’ai traversé le portail de lumière.
Lorsque j’ouvris mes yeux, j’étais à l’auberge du Bastion de Pennelune. Il faisait nuit et j’étais fatiguée. J’ai donc pris une chambre, que j’ai louée, et je me suis couchée.
J’ai vite trouvé le sommeil mais une chose avait changé : je ne faisais plus de cauchemar horrible.
Je n’étais plus Faënia, maîtresse des ombres et du chaos ; mais Faënia Minòri, grande Prêtresse d’Elune et protectrice de la lumière.
Je me suis donc donné pour objectif d’aider les autres sans oublier pour autant ma vengeance contre Arthas.. Et j’aimerai remercier tout mes amis qui me soutiennent (notamment le groupe ou je suis actuellement).
En tout cas, je pense rester à Féralas un bon moment pour communier avec la nature et la lumière.
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Loréya

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La triste vie de Elänéïa la damnée (par Ash) Empty
MessageSujet: Re: La triste vie de Elänéïa la damnée (par Ash)   La triste vie de Elänéïa la damnée (par Ash) Icon_minitimeVen 14 Aoû - 1:04

Chapitre IV : Une nouvelle vie commence !

Le jour suivant, durant la nuit, je me sentis assez mal à l’aise…. Les arbres étaient comme morts, le vent était glacial et il y avait une odeur bizarre….
Je me suis levé, habillée de ma cuirasse corrompue mais je ne trouvais pas ma dague. J’ai donc chercher un moyen d’avoir une arme et le seul moyen était la création magique de celle-ci. J’ai donc invoquée la lumière mais sans réponse…J’ai donc utilisée la puissance des Ténèbres et le résultat fut stupéfiant : j’avais réussi à invoquer dans un immense éclair noire une grande épée à deux mains qui avait sa volonté propre. Elle me murmura ceci : « Je…me…nomme…Armaggeddon… ».
Je la pris et la mis sur mon dos, attachée à mon armure.
Lorsque j’arrivais en bas de l’auberge, celle-ci était vide, mais l’odeur était plus « forte » : c’était l’odeur du sang….
Je me suis dépêchée dehors mais lorsque je sortis, je fus encerclée par des abominations, des goules et des invocateurs. Devant moi se tenait un grand homme vêtu de noire et où l’aura était glaciale, comme si toute vie était morte…
Quand je voulus ouvrir ma bouche pour dire quelques mots, Arthas me transperça et utilisa sa magie la plus noire pour retira mon âme de son enveloppe charnelle alors même que mon dernier souffle prenait fin….
J’étais devenue une créature nommée « Banshee ». Les invocateurs qui étaient au nombre de quatre, m’encerclaient et commencèrent à faire une sorte de rituel. Un grand magicien noire sortit de l’ombre et fit apparaître un cercueil où était entreposé un corps.
C’était une jeune elfe de sang que je devinais avec sa tenue vestimentaire que c’était une paladine. Arthas dit alors : « Cela faisait longtemps Faënia. Avant que le rituel soit complété, je vais t’expliquer ce qui va se passer et pourquoi. Tout d’abord, tu as acquis toute la sagesse des plus puissants guerriers de l’Alliance mais ceux-ci te protègent constamment : cela est donc trop dangereux.
J’ai donc décidé d’utilisé le puissant livre de Médivh pour que mes invocateurs transfèrent ton âme dans le corps de cette Elfe de sang. Comme tu as dû le remarquer, c’est bien une paladine mais pas n’importe laquelle : cette paladine est la plus puissante de son peuple après le grand maître des paladins Elfe de sang.
On va donc, pour en terminer avec ces bavardages transférer ton âme dans son corps :tu oublieras tout tes souvenirs de l’alliance et tu apprendras ta nouvelle vie dans la Horde grâce aux restes de la paladine. En bref : bienvenue dans la Horde ».
L’un des invocateurs fini son rituel en disant cette incantation : « Ash mal’ Im atoul ».
Un éclair frappa mon âme et le corps de la paladine puis quand nous avions fusionnés dans une douleur atroce, je m’évanouis.
Quelques jours plus tard, je me suis réveillée au bord d’une plage avec de l’autre côté une île où l’on pouvait apercevoir des bâtiments d’Elfes de sang au loin. Je me suis retournée et je vis une tente où étaient entreposées toutes mes affaires. Je me suis regardée dans le miroir de l’eau qui était claire, limpide et éclatante : plusieurs choses me revient à l’esprit : mon armure était corrompue, mes seules pouvoirs étaient la maîtrise des ténèbres et pour finir : j’adorais tout ce qui est souffrance, mort, chaos mais en même temps, j’étais déchirée par un sentiment de bonté, de plaisir et de paix.
J’ai levée mes yeux au ciel et une lettre tomba : je la prie et je la lue.

Toute chose a une fin,
Chaque fin débute par la commencement,
Vous êtes dorénavant une chevalière de la mort au service des ténèbres.
Vous vous appelez Elänéïa Minòri Sylnéa,
Vous faites partie de la Horde, jeune Elfe de Sang et vous la servirez car la Horde est votre seule refuge.
Nous nous retrouverons mais en attendant…Apprenez à vous servir de votre grande puissance.

A très bientôt…


A la fin de la lettre, une tache de sang était mise en guise de signature.
A ce moment là, lorsque je mis la lettre dans ma poche, un flash me fit connaître tout de cette nouvelle vie…
Je me nommais Elänéïa Minòri Sylnéa, chevalière de la mort pour la Horde.
J’ai donc répétez à voix haute : « Je me nomme Elänéïa Minòri Sylnéa, chevalière de la mort pour la Horde. »

C’est alors qu’un éclair d’un noire intense apparut et qui était partit de moi-même et qui se dirigeait vers le ciel. Celui-ci se remplit aussitôt de nuages et d’éclairs noirs pour ensuite me frapper violemment mais je sentis que ma force et mes pouvoirs étaient à leurs apogées.
Deux minutes après, le ciel était redevenu beau et le soleil était magnifique. Très étrangement, je savait comment utiliser tout mes pouvoirs et donc dans un premier temps, j’ai invoqué une arme qui avait sa propre volonté et qui soi-disant se nommait « Armaggeddon » : c’était une grande épées à deux mains que je mis sur mon dos.
Juste après, j’ai invoqué un destrier venue du monde des ombres : ce destrier de la mort s’appelait : Achérus.
Lorsque j’étais prête, j’ai utilisé la magie du givre et de l’ombre pour gelée la mer qui me permettrait de rejoindre l’autre rive, là où se trouvaient les bâtiments des Elfes de sang.
Après deux heures de route, je suis arrivée à Lune d’agent, magnifique cité Elfe et où le Commandant des Elfes de sang devait me rencontrer.
Quand je me suis présentée devant lui, il m’a regardé et m’a demandé qu’elle était ma « classe » pour qu’il puisse m’assigner à une tache de soigneur, attaquant où de défenseur.
Je me suis donc présentée en temps que chevalière de la mort déchue ayant quittée la domination du Roi Liche et ayant pour but de défendre la Horde à n’importe qu’elle prix, même si cela devait me coûter la vie (du moins ce qu’il me restait de vie). Pour finir, j’ai même dit que je me nommais Elänéïa Minòri Sylnéa, ancienne grande paladine de la lumière.
Le commandant, effarée me fait voir le grand maître des paladins. Quelques minutes plus tard, le grand maître des paladins su toute l’histoire car Le commandant des Elfes de sang lui avait tout raconté.
Le paladin exigea un entretien en privé avec moi. Nous sommes allés vers le Hall du palais.
Il me fixa de son regard et après une minute, il me souri et me dit : « bienvenue parmi nous ma très chère. Cela fait du bien de te revoir, mais je t’en prie, même si tu veux te venger de ce qu’à fait le Roi Liche, c'est-à-dire ta « malédiction » où « transformation » en morte-vivante, sache que même avec ce nouveau « pouvoir » tu restera toujours pour nous notre Elänéïa Minòri… ».

Je lui dit que je le remerciais mais qu’il était dorénavant de mon devoir de tuer ce prince déchue. Il me regarda et me dit alors : « et bien soit, tout les paladins et paladines sont à ton service. Je vais de ce pas aménager tes quartiers, si tu te rappel où ils sont, et en avertir notre Commandant que notre Elänéïa est de nouveau parmi nous. A bientôt et repose toi bien ».

Après un mois passé dans la Horde, je m’y sentais bien, il y a souvent du travail pour des gens de notre rang et notre honneur a été sauf. Je me suis fais de nouveaux amis mais je veux montrer à toutes et à tous que les Chevaliers et Chevalières de la mort peuvent faire de l’excellent travail et même pour leurs montrer que notre classe existe !
Gloire et Honneur à la Horde !
Que la Corruption et les Ténèbres veillent sur nous !
Quel nous donnent courage, force et triomphe dans tout ce que nous entreprendront !

Je me nomme Elänéïa Minòri Sylnéa, chevalière de la mort Elfe de sang, maîtresse des morts-vivants et adoratrice des Ténèbres….
Que tous plient sous le joug de la Horde, que tous plient sous Mon Joug !








C'était Récit de ma vie (Histoire tragique d’’Elänéïa)
Par Elänéïa Minòri Sylnéa (fille anciennement de Anäriela Elënisa Sylnéa), ancienne prêtresse d’Elune puis paladine de la lumière, devenue Chevalière de la mort Elfe de sang, servant en tout et pour tout la Horde.







[Les sources :
-Mes personages de World of Warcraft.
-Mes recherches sur internet.
-Beaucoup de Noms ont été tirés de mon imagination.
-Quelques amis IG et Irl.

Je voudrais dédier ce roman pour ma petite chienne qui m’a inspiré et qui est décédée avant que je puisse le terminer….


L’histoire qui vous est présenté n’est pas un copier-coller. Cela va faire quelques mois que j’y travail dans mes heures de libre…En espérant qu’il vous est plu…]


Elänéïa


Dernière édition par Ashëlis le Ven 14 Aoû - 1:08, édité 1 fois
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Loréya

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MessageSujet: Re: La triste vie de Elänéïa la damnée (par Ash)   La triste vie de Elänéïa la damnée (par Ash) Icon_minitimeVen 14 Aoû - 1:06

ps: Bon bah voila. Ce n'est pas ma 1ere histoire car j'en ai 1 pour chaque perso (c'est a dire 17 et presque 18 pour ma mage)^^.Certaines histoire sont longues (comme celle d'Elä) mais d'autres plus courtes (comme celle d'anäriela ma prêtresse elfe de la nuit= 5 pages).
J'aime ecrire donc je vous souhaites d'avoir ou de passer une bonne lecture=).

pss: essayez de faire mieux et plus long :p
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Grumgok

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MessageSujet: Re: La triste vie de Elänéïa la damnée (par Ash)   La triste vie de Elänéïa la damnée (par Ash) Icon_minitimeVen 14 Aoû - 12:23

Et bien Ash, ça m'a peut être prit du temps pour tout lire mais frenchement c'était une bien belle histoire gg à toi Smile (j'aimerais faire de même mais je suis nul en écriture^^)

@ toute IG :p
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MessageSujet: Re: La triste vie de Elänéïa la damnée (par Ash)   La triste vie de Elänéïa la damnée (par Ash) Icon_minitime

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